PETITE SOCIOLOGIE DE LA « BONNE AFFAIRE » Par le Collectif La Cité des Choses DEUXIEME PARTIE : LES JEUX DE CONTRAINTES 2 – LES CONTRAINTES ET RESSOURCES TEMPORELLES DE L’EXPERTISE LES CONTRAINTES DE TEMPS ET L’EFFORT A FOURNIR Un état d'esprit et un...
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PETITE SOCIOLOGIE DE LA « BONNE AFFAIRE » Par le Collectif La Cité des Choses DEUXIEME PARTIE : LES JEUX DE CONTRAINTES 2 – LES CONTRAINTES ET RESSOURCES TEMPORELLES DE L’EXPERTISE LES CONTRAINTES DE TEMPS ET L’EFFORT A FOURNIR Un état d'esprit et un investissement sur le long terme : La recherche des "bonnes affaires" est d'abord un état d'esprit. Elle demande un engagement dans la durée. C'est du moins ce que nous explique Raphaël, un "explorateur économe" très investi dans la chasse aux "bons plans". Et notre consommateur d'insister sur la différence entre le consommateur "malin" et le consommateur "débrouillard". Le "débrouillard", c'est celui qui profite d'une opportunité de manière ponctuelle : "Selon moi, il va être très réactif… On lui dit quelque chose, c’est tout de suite" ; "Il sent tout de suite la bonne affaire". Cependant, à la différence du "malin", le "débrouillard" ne cherche pas forcément à multiplier les opportunités. Par contraste, le "malin" - auquel il s'ident
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