"La mort des amants", Charles Baudelaire, 1857, poème CXXI dans le livre "La mort", Les fleurs du mal. Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères, Des divans profonds comme des tombeaux, Et d'étranges fleurs sur des étagères, Ecloses pour nous sous des...
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"La mort des amants", Charles Baudelaire, 1857, poème CXXI dans le livre "La mort", Les fleurs du mal. Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères, Des divans profonds comme des tombeaux, Et d'étranges fleurs sur des étagères, Ecloses pour nous sous des cieux plus beaux. Usant à l'envi leurs chaleurs, dernières, Nos deux cœurs seront deux vastes lumières, Qui réfléchiront leurs doubles lumières Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux. Un soir fait de rose et de bleu mystique, Nous échangerons un éclair unique, Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux ; https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sexualite/tristan-et-yseult-une-passion- Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes, qui-commence-avec-un-philtre-d-amour_1807877.html Viendra ranimer, fidèle et joyeux, Les miroirs ternis et les flammes mortes. Analyse du poème : Ce poème traite de la mort mais également de la fidélité espérée dans un couple. Ce sonnet, composé de d'abord 2 quatrains et ensuite de 2 tercets, est égalem
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