Des gendarmes tués à Sébastopol (1855). Retour sur une scène de Crimée Lieutenant-colonel Édouard Ebel et commandant Laurent López Docteurs en histoire, Service historique de la Défense, Département de la recherche, des études et de l’enseignement, bureau...
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Des gendarmes tués à Sébastopol (1855). Retour sur une scène de Crimée Lieutenant-colonel Édouard Ebel et commandant Laurent López Docteurs en histoire, Service historique de la Défense, Département de la recherche, des études et de l’enseignement, bureau Gendarmerie « Il était nécessaire de rappeler à la gendarmerie Le paradoxe de voir le régime républicain ces hauts faits et de lui prouver que, si elle saluer indirectement le souvenir d’un Second est souvent à la peine, le Gouvernement de Empire par ailleurs honni ne soulève pas de la République sait apprécier ses services en réserve notable. Faut-il y déceler un des indices la mettant également à l’honneur ». Lorsque, d’un contexte relativement unanimiste où la au début de juillet 1913, le Journal de la gendarmerie multiplie depuis quelques mois Gendarmerie de France présente avec emphase les exercices de mobilisation pour faire face les batailles qui seront inscrites sur le drapeau aux menaces de guerre ? Répétant la loi du remis
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