A Jeumont (Nord) à la fin des années 1950, une battue est organisée pour trouver les deux Le auteurs d’une agression développement à main armée de la police judiciaire dans la gendarmerie nationale au cours de la deuxième moitié du XXe siècle Gérard Charlot...
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A Jeumont (Nord) à la fin des années 1950, une battue est organisée pour trouver les deux Le auteurs d’une agression développement à main armée de la police judiciaire dans la gendarmerie nationale au cours de la deuxième moitié du XXe siècle Gérard Charlot Général d’armée Ancien inspecteur général des armées gendarmerie L e message du général Philippot était bref : Au moment où la pièce commence, le témoin est « Voulez vous me rappeler d’urgence ». à l’École des officiers de la gendarmerie natio- J’ai flairé le piège et j’ai continué à traiter nale. Le cours de police judiciaire est professé les questions… vraiment urgentes. Mais l’Histo- par le commandant Joly, officier très sérieux, bon rien est coriace : « Allo ! Mon Général (saluta- juriste, dont l’expérience pratique en police judi- tions…) Nous préparons le prochain exemplaire ciaire est cependant limitée aux quelques affaires de la revue Histoire et Patrimoine des gendarmes, judiciaires locales habituell
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