En Une : Tessa WORLEY. La rupture des ligaments croisés du genou, un cliché fréquemment invoqué par des artistes en mal de carrière sportive, est LA blessure emblématique de tout (très) bon·ne skieur·se qui se respecte. Sans surprise, Tessa Worley, jeune...
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En Une : Tessa WORLEY. La rupture des ligaments croisés du genou, un cliché fréquemment invoqué par des artistes en mal de carrière sportive, est LA blessure emblématique de tout (très) bon·ne skieur·se qui se respecte. Sans surprise, Tessa Worley, jeune retraitée et star des sommets, a franchi les redoutables étapes de l’hôpital et de la rééducation au cours de sa carrière. Trois fois. Pour en revenir plus forte et plus sereine. La « Puce » savoyarde qui a grandi à Mount Lyford en Nouvelle-Zélande, où elle a chaussé des skis à l’âge de 17 mois pour ne plus jamais les quitter, couve désormais d’autres projets.
Elle prend le temps de faire un bilan de compétences pour réfléchir à sa nouvelle vie, en plus de se préparer, à trente quatre ans, à devenir mère pour la première fois.
Il y a quelque chose de commun à presque tous les skieurs·euses du monde : peu d’entre eux ont des genoux intacts, vierges de cicatrices dont la taille et l’aspect ne sont pas toujours le reflet des souffrances
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