Abou Madyan – Mohammed Dib & Faïz Dib
by cequireste
« Gamin, il m’arriva de tomber malade, puis de guérir. La coutume alors courante requérait des familles en pareil cas de célébrer l’événement par une waâda et si on le voulait, et le demandait, dans cette maison, sous la protection de Sidi Abou Madyan. »