• • LE DRAME DE CHA RONNE H uit février 1962. « la place de la Bastille était entière- ment cernée par les se recueillent devant la maison de · Suzanne Martorell . Les jours sui- vants plusieurs centaines de mil- C.R.S., /'inquiétude nous gagnait liers de...
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• • LE DRAME DE CHA RONNE H uit février 1962. « la place de la Bastille était entière- ment cernée par les se recueillent devant la maison de · Suzanne Martorell . Les jours sui- vants plusieurs centaines de mil- C.R.S., /'inquiétude nous gagnait liers de francs sont collectés sur les d'autant qu'au loin on entendait du marchés, dans les quartiers, les . "1"-.,.,..,-,--•;m;;;~...+ bruit. Lorsque nous avons pu entreprises et les classes d'écoles. rejoindre les autres manifestants, Le jour des obsèques des milliers la police avait déjà chargé, les gens d'albertivillariens rejoignent le flot criaient et couraient dans tous les d'hommes et de femmes qui avan- sens. C'était la panique ». Hélène cent vers le cimetière du Père Orlando, habitante de la cité Robes- Lachaise. Un million de personnes pierre, se souvient. sont là . Albertine Renaudat témoigne dans le journal d'Aubervilliers du 17 février 1962 : « ... Il était 19 h 30, POURQUOI nous étions arrivés à l'angle du Boulevard Voltaire et
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