L.e 23 111ai 1892, au Fort d'Aubervilliers ,,,, UN EBOULEMENT MEURTRIER L e 3 avril 1841, Adolphe Thiers avait fait adopter la loi permettant la construc- Les secours, immédiatement organisés, permettent de déga- ger dix minutes plus tard le ser- maire...
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L.e 23 111ai 1892, au Fort d'Aubervilliers ,,,, UN EBOULEMENT MEURTRIER L e 3 avril 1841, Adolphe Thiers avait fait adopter la loi permettant la construc- Les secours, immédiatement organisés, permettent de déga- ger dix minutes plus tard le ser- maire d'Aubervilliers, offre de prendre les frais d'inhumation à la charge de la ville, ainsi qu'une de Flandre puis emprunte l'ave- nue de la République et la rue de Pantin. Dès que la procession tion d'une enceinte autour de vant Thifou, évanoui mais peu concession de terrain au cimetiè- apparaît avenue de la Ré pu- Paris. L'expérience de la guerre grièvement blessé. Ranimé , re communal. Les obsèques sont blique, les cloches de l'église de 1870 montra l'inutilité, voire le l'artilleur est transporté à l'hôpi- célébrées le jeudi suivant, 26 sonnent le glas. Grande émotion danger, de tels ouvrages mili- tal Saint-Denis. Il faudra encore mai. Le cortège part de l'hôpital devant la mairie où les élus taires et contribua à la décision vingt minu
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