p o n isme h La diffusion des objets d’art et des estampes japonaises se Le Ja anouriez précise en France après les années 1860. Pendant plus d’un demi-siècle, l’influence de l’Extrême-Orient provoque une effervescence artistique remarquable qui permet à de...
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p o n isme h La diffusion des objets d’art et des estampes japonaises se Le Ja anouriez précise en France après les années 1860. Pendant plus d’un demi-siècle, l’influence de l’Extrême-Orient provoque une effervescence artistique remarquable qui permet à de nombreux Ar Jap peintres de s’émanciper de la tradition académique enseignée à l’École des Beaux-Arts. Souvent, les rencontres et les amitiés En couverture : Henri de TOULOUSE-LAUTREC (1864-1901) - JANE AVRIL (détail), 1899. Lithographie au pinceau © Musée d’Ixelles-Bruxelles / Courtesy of Institut für Kulturaustausch, Tübingen. facilitent la découverte enthousiaste des estampes japonaises. Pour Toulouse-Lautrec, son initiation date de 1886 lorsqu’il croise Vincent Van Gogh, grand amateur d’art japonais. Très vite, ses créations graphiques vont emprunter plusieurs caractéristiques aux estampes japonaises : ainsi, les silhouettes en réserve cernées renvoient à la technique du Hara-Oshi qui pourrait se traduire par “impression de vide
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