Ô tristesse ! Ô déception ! Ô cruel oiseau chantant ! N’ai-je donc tant chanté que pour cet affreux chant ? Et ne suis-je résolu à m'exprimer ainsi jusqu'à la fin des temps Que pour voir en un jour se dissiper tous mes espoirs insouciants ? Ma voix, qui...
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Ô tristesse ! Ô déception ! Ô cruel oiseau chantant ! N’ai-je donc tant chanté que pour cet affreux chant ? Et ne suis-je résolu à m'exprimer ainsi jusqu'à la fin des temps Que pour voir en un jour se dissiper tous mes espoirs insouciants ? Ma voix, qui tant de fois m'a tendu les bras Ma voix, qui tant de fois fut là pour moi S'envole petit à petit et ne fait rien pour moi ? O cruel souvenir de ces temps heureux ! Oeuvre de tant de jours de travail mélodieux !
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