Derrière le photographe, le 7 rue Boucicaut, bâtiment acquis par l’Education nationale en 1953 et qui existe toujours (désormais situé place Sainte-Barbe). Nous trouvons ensuite le puits (voir L’Archive de la Quinzaine n° L’Archive de la Quinzaine1 n°404 15...
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Derrière le photographe, le 7 rue Boucicaut, bâtiment acquis par l’Education nationale en 1953 et qui existe toujours (désormais situé place Sainte-Barbe). Nous trouvons ensuite le puits (voir L’Archive de la Quinzaine n° L’Archive de la Quinzaine1 n°404 15 du 13 décembre 2004) et les bâtiments de l’Ecole Du lundi 16 décembre au samedi 28 décembre 2019 Normale Supérieure. La rue Boucicaut Hormis le point d’eau qui a disparu, cette partie non visible a subi peu d’évolutions contrairement à celle, plus (1967) pittoresque, qui a été photographiée par Christian Poireaux. D’ailleurs, logiquement, d’autres photographes (par exemple Pat Draig, voir Histoire de Fontenay-aux-Roses de Germaine Mailhé) ou des peintres (comme Gabrielle Hébraud) avaient précédemment choisi le même angle. Nous sommes en 1967. Le photographe, le Fontenaisien Christian Poireaux, s’est placé rue Boucicaut au débouché du sentier du Clos-des-Chevillons. Sur la gauche, nous devinons une grande parcelle L’Archive de la Qui
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