Paraphrase de Boileau
Ton sonnet, bien pensé, devra, dès l incipit
Apparaître au lecteur comme seul fruit de l art
et ne jamais sembler procéder du hasard;
Tes quatrains, tes tercets, seront quatre pépites;
Pour composer tes vers, tu devras, sans répit
Sans...
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Paraphrase de Boileau
Ton sonnet, bien pensé, devra, dès l incipit
Apparaître au lecteur comme seul fruit de l art
et ne jamais sembler procéder du hasard;
Tes quatrains, tes tercets, seront quatre pépites;
Pour composer tes vers, tu devras, sans répit
Sans marcher au plafond, comme fait un lézard
Et sans ces mots grossiers qui sentent le bazar,
Sans te désespérer non plus, face au dépit,
Tu devras, au métier, remettre ton ouvrage
Et, jamais rebuté, ne te mettras en rage
À cause d un alexandrin hors de mesure,
De l infernal hiatus qui enlaidit un vers
Ou du meilleur endroit pour marquer la césure;
Mais ton renom, alors, te fera autre.
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Arvers
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