PRINTEMPS
DES COMEDIENS
V
• Aparté •
Délicieux
Evidemment il y a ce qui relève du superlatif :
magnifique Quartier Lointain, étourdissant Tempête sous un crâne.
Pour ne prendre que deux
spectacles dans la très riche programmation du
Printemps....
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PRINTEMPS
DES COMEDIENS
V
• Aparté •
Délicieux
Evidemment il y a ce qui relève du superlatif :
magnifique Quartier Lointain, étourdissant Tempête sous un crâne.
Pour ne prendre que deux
spectacles dans la très riche programmation du
Printemps.
Etpuisilyacesmomentsplusvagues,
un peu flottants entre deux heures, entre deux
genres.
Des moments délicieux, gracieux si cet
adjectif pouvait se cantonner à son sens de grâce
qui tombe comme cela, par inadvertance diraiton, d’un ciel d’été.
La rencontre entre Jean-Claude Carrière et Pierre
Etaix fut de ces moments-là.
Oh les deux vieux
complices –ils se sont connus en 56 chez Jacques
Tati - n’ont pas fait les pieds au mur, Etaix n’a
pas mis son nez de clown.
Mais il y eut dans cet
échange tant de drôlerie affectueuse que le public
sembla ne jamais se résoudre à partir.
On y parla Tati, Louis Malle, scénaristes tadjiks,
Visconti, art du gag, science du rire et même Jean
Dujardin.
Etaix imita Stan Laurel, Carrière raconta
la machine à mange
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