Au milieu du XIXe siècle, les besoins en eau de l’industrie roubaisienne nécessitent la création d’une liaison directe avec le bassin
minier et les ports de la mer du Nord, afin d’acheminer matières premières et produits manufacturés.
Pour joindre la Deûle...
More
Au milieu du XIXe siècle, les besoins en eau de l’industrie roubaisienne nécessitent la création d’une liaison directe avec le bassin
minier et les ports de la mer du Nord, afin d’acheminer matières premières et produits manufacturés.
Pour joindre la Deûle à l’Escaut
par la Marque, le canal de Lille est creusé à la frontière belge en 1843.
Sa partie souterraine est cependant vite abandonnée en
raison de la mauvaise qualité des sous-sols.
En 1863, la municipalité retient le projet du paysagiste Barillet-Deschamps qui
aménage rivières, étangs et cascades sur ce terrain en friche.
Un décret impérial de
1866 autorise la création d’une promenade mais le coût des expropriations en retarde la réalisation ;
les terrains sont alors loués à des laboureurs.
Le paysagiste Georges Aumont intervient de 1878 à 1886 sur la partie proche de la ville jusqu’au Clos
des Mille Colonnes, un ancien estaminet.
En 1902, seule l’avenue Le Nôtre est ouverte, l’avenue Jussieu
étant à peine ébauchée.
Une ul
Less
