et la coulée [ig.
419, pages 242 et 243].
De plus, de nombreux enseignants s’étaient mis
à répandre un nouveau style d’écriture arrondie, sobre et expéditive, issue de la
bâtarde et qui prendra le nom d’écriture inancière.
Cette écriture, plus...
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et la coulée [ig.
419, pages 242 et 243].
De plus, de nombreux enseignants s’étaient mis
à répandre un nouveau style d’écriture arrondie, sobre et expéditive, issue de la
bâtarde et qui prendra le nom d’écriture inancière.
Cette écriture, plus rapide à tracer, convenait mieux aux besoins des secrétariats commerciaux ou administratifs, alors
en pleine expansion.
Elle évolua et donna naissance à la in du xviiie siècle à l’anglaise,
qui s’épanouit au xixe siècle pour devenir l’écriture commerciale internationale.
Pour être tout à fait précis, il me faut signaler qu’une écriture inancière existait déjà
au xviie siècle, bien qu’elle tomba rapidement dans oubli pour être redécouverte au
cours du siècle suivant.
En efet, Pierre Moreau (vers 1605–1648), expert-écrivain juré
à Paris, édita plusieurs livres de calligraphie gravés en taille-douce.
Le premier, édité en
1626, s’intitule Les Vrays Caracthères de l’escriture inancière, selon le naturel de la plume,
escritz et
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