Lorsque nous avions étudié la voie Bolène, des indices
nous avaient fait supposer qu’un itinéraire médiéval
appelé « viam Foreysa » (la voie de Feurs plutôt que la
voie du Forez, un peu pompeux) passait en diagonale
dans le lit majeur du fleuve.
Il formait...
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Lorsque nous avions étudié la voie Bolène, des indices
nous avaient fait supposer qu’un itinéraire médiéval
appelé « viam Foreysa » (la voie de Feurs plutôt que la
voie du Forez, un peu pompeux) passait en diagonale
dans le lit majeur du fleuve.
Il formait un raccourci au
tracé de la Bolène tout en desservant Chambéon et Magneux (sur le cadastre ancien, il est inscrit comme chemin de Magneux à Feurs).
La voie évitait pourtant
Chambéon et à l’époque il n’avait pas été retrouvé de
raison valable de cet évitement ; aucun indice permettant de faire remonter ce passage à une période plus
ancienne n’avait été mis en évidence.
Nous retrouvions
le tracé près d’un lieu dit pré de saint Martin (toponyme
lié vraisemblablement à l’appartenance de la terre soit
au prieuré de Randans (saint Martin de Savigny) soit à
la cure de Magneux (vocable de saint Martin)).
Elle
passait au Châtelard où, depuis, un enclos à été photographié et surtout où des découvertes importantes ont
été faites par l’INRAP
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